Archives de la catégorie ‘Au Parti Socialiste’

Communiqué de Presse

18 octobre 2013 | Au Parti Socialiste

Nanterre le vendredi 18 octobre 2013 Le parti socialiste s'est très largement rassemblé avec 79% des voix autour de ma candidature en vue des prochaines élections municipales de 2014. Ce résultat montre l'unité et la force des socialistes à Nanterre et leur volonté d’être être un acteur essentiel pour les élections à venir.  Nous allons maintenant aller à la rencontre des Nanterriennes et Nanterriens pour porter nos propositions et défendre nos priorités afin de préparer le Nanterre de demain. Notre rassemblement interne ouvre la voie à un rassemblement plus large avec l’ensemble des forces de progrès NANTERRIENNES. Zacharia BEN AMAR Tête de liste PS à Nanterre

Scandale : La majorité UMP-UDI du Conseil général supprime le financement des 86 postes d’AVS

25 avril 2013 | Au Parti Socialiste, Education

  La majorité UMP-UDI du Conseil général vient de décider de supprimer le financement des 86 postes d’AVS (auxiliaires de vie scolaire) à la rentrée prochaine. Ces postes d’AVS financés jusqu’à présent par le Conseil général avaient pour objet de permettre la scolarisation d’enfants handicapés. On voit les priorités de la droite. En plus tout le monde connait les moyens insuffisants attribués à la MDPH 92 incapable de répondre aux besoins légitimes des familles.  En parallèle le gouvernement tente de trouver des solutions à la dégradation de la situation depuis 10 ans sur la scolarisation des enfants handicapés :  - 1 500 AVS-I ont été recrutés à la rentrée 2012 et 350 autres la rentrée 2013. - 2 300 AVS-CO ont également été recrutés pour l'aide mutualisée, afin de mieux 'accompagner les élèves vers une plus grande autonomie. Et garantir un encadrement et un suivi en continu dans tous les lieux fréquentés par l'élève en situation de handicap. Concernant la professionnalisation des AVS –I. Un groupe de travail sur la professionnalisation des auxiliaires de vie scolaire (AVS-i) a été mis en place. Un rapport sera rendu public d'ici peu. Par ailleurs la formation dispensée au sein des écoles supérieures du professorat et de l'éducation, qui ouvriront leurs portes à la rentrée 2013, inclura la prise en compte des besoins spécifiques des élèves en situation de handicap par tous les enseignants.   Zacharia BEN AMAR Maire Adjoint de Nanterre  

LES SOCIALISTES NE VOTERONT PAS LE BUDGET A NANTERRE

26 mars 2013 | Au Parti Socialiste, Education

Communiqué de presse des élus socialistes de Nanterre  Objet : A Nanterre, l’Education ne doit pas être une variable d’ajustement.  Après avoir demandé à plusieurs reprises une plus grande transparence dans le cadre de la préparation budgétaire et plus particulièrement en matière de dépenses en personnel, Après avoir pris acte que des décisions en matière de suppression de postes d’Agent territorial spécialisé des écoles maternelles (ATSEM) ont été communiquées en direction des établissements scolaires sans concertation avec l’Adjoint au Maire  charge de l’enseignement Zacharia BEN AMAR notamment  et plus globalement l’exécutif de cette ville, Les élus socialistes ont pris la décision, in fine, de s’abstenir sur le vote du budget, il s’agit pour eux de :     dénoncer des méthodes de travail inacceptables au sein de la majorité, qui sont totalement exemptes de concertation et de réflexion collective et qui conduisent à la politique du fait accompli,        manifester leurs désaccords sur le fond et sur la forme concernant la suppression et la nouvelle répartition des ATSEM dans les écoles maternelles de la ville.     dénoncer le double discours du maire. En effet, il n’est pas concevable d’énoncer l’éducation comme une priorité et de supprimer, dés la rentrée 2013, 14 postes dans ce secteur. A l’instar du gouvernement les élus socialistes considèrent que l’éducation et l’avenir de nos enfants  doivent rester concrètement  une priorité absolue En bref, il est difficile pour les élus socialistes d’ignorer la politique de rigueur que réclame la situation économiques de notre pays. Ils sont prêts à assumer les réductions de ressources inhérentes aux fonds de la péréquation et à la diminution des contributions de l’état. Mais ils s’opposent à cette manière de travailler au coup par coup, et à l’absence partagée de réflexion et de prospective en matière d’économie.

Foule au 1er débat organisé par le PS de NANTERRE sur la Refondation de l’école

4 mars 2013 | Au Parti Socialiste, Education

Une soixantaine d’enseignants,  parents d'élèves, syndicalistes ou militants associatifs ont participé samedi 23 février à l’atelier-débats organisé par le parti socialiste de Nanterre sur le projet de loi de refondation de l’école et, plus particulièrement, sur la réforme des rythmes scolaires.  Après une brève présentation du projet de loi par Zacharia BEN AMAR secrétaire fédéral à l’Education pour le PS92, de très nombreuses personnes ont pris la parole.  Si tous les intervenants s’accordent à souligner l’absolue nécessité de refonder l’école, tout spécialement le premier cycle, la grande majorité a estimé que le projet actuel n’allait pas assez loin, tout en s’inquiétant des conditions de mise en œuvre notamment du retour à la semaine de 4 jours et demi, même si tous les participants en approuvaient le principe.  Les inquiétudes portaient également sur la nature des directives nationales  qui laissent  trop de responsabilités et de marge de manœuvre aux collectivités locales, risquant d’aggraver ainsi les inégalités entre communes riches et communes plus démunies.  Zacharia Ben Amar, aussi maire adjoint socialiste à l’Education de Nanterre, a souligné qu’il n’était pas possible en une seule année de réparer les dégâts causés par les politiques suivies ces dix dernières années. L’augmentation significative des effectifs et la relance de la formation initiale et continue des enseignants constituent cependant des mesures très importantes qui permettront de franchir une première étape.  Il a rappelé que l’objectif principal du projet de refondation portait sur la nécessaire synergie entre enseignements scolaires et activités périscolaires. C’est la raison pour laquelle la réussite de ce projet passe par une mobilisation des collectivités locales qui doivent de ce fait bénéficier d’une possibilité d’adaptation et d’arbitrage. Le débat a ensuite porté sur la réforme des rythmes scolaires dont la mise en œuvre semble concentrer l’essentiel des inquiétudes tant des parents que des enseignants.Le gouvernement et les élus socialistes sont conscients des difficultés que peut soulever le retour à la semaine de 4 jours et demi, qui, pour être réussi, ne peut se limiter à un simple retour à la situation qui prévalait il y a 5 ans. C’est pourquoi, la commune de Nanterre, comme les autres communes du département, a choisi de n’appliquer la réforme qu’à partir de la rentrée 2014. Cela laissera le temps de poursuivre la concertation avec parents, enseignants, animateurs afin de donner des réponses satisfaisantes aux questions qui se posent. -     A quelle heure commencer le matin et terminer le soir ? -     Faut-il allonger la pause méridienne ou terminer plus tôt dans l’après-midi en concentrant les activités parascolaires à l’issue du temps scolaire ? -     Faut-il choisir le mercredi matin ou plutôt le samedi matin pour la demi-journée supplémentaire ? -     Comment assurer une meilleure liaison entre le travail des enseignants et celui des animateurs ? -     Comment conforter le budget communal consacré à l’Education dans un contexte de rareté budgétaire ?  Les représentants du Parti socialiste de Nanterre se sont engagés à poursuivre dans les prochaines semaines un travail de concertation avec tous les acteurs concernés (enseignants, parents, animateurs, ATSEM , associations éducatives et culturelles …). Un nouvel atelier-débat sera donc organisé le samedi 6 avril 2013.

LA REFONDATION DE L ECOLE LE PS DE NANTERRE CONTINUE LE DEBAT!

18 février 2013 | Au Parti Socialiste, Education



Intervention conseil municipal du 12 février 2013 : Demande de dérogation d’application de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée septembre 2014

13 février 2013 | Au Parti Socialiste, Education

Le président de la république a fait de la jeunesse et de l’Education une priorité absolue de son quinquennat.  La première étape a été la mise en place de la  concertation « Refondons l’école de la République » sous l’égide du ministère de l’Education nationale. Elle a réuni de juillet à octobre 2012, tous les acteurs de l’éducation : ministres, fédérations de parents d’élèves, organisations lycéennes et étudiantes, institutions, associations d’élus, personnel enseignants, syndicats… autour de quatre thématiques: la réussite scolaire pour tous, les élèves au cœur de la refondation, un système éducatif juste et efficace, des personnels formés et reconnus.  De cette concertation est né un projet de loi de la refondation ayant pour objectif de  répondre aux grands défis auxquels  est confrontée notre société : -       Élever le niveau de connaissances, de compétences et de culture de tous les enfants. -       Réduire les inégalités sociales et territoriales -       promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes -       recréer une cohésion nationale et un lien civique autour de la promesse républicaine de la réussite éducative pour tous Pour atteindre ces objectifs le gouvernement met les moyens : -       Création de 60 000 postes. -       Ouverture dés septembre 2013 des Ecoles Supérieures du professorat et de l’éducation pour la formation initiale et continue des enseignants et de tous les professionnels de l’éducation. -       Rétablissement de l’année de stage pour les jeunes enseignants. -       Relance de la scolarisation des enfants des enfants de moins 3 ans. -       Dispositif « plus de maitres que de classes ». -       Augmentation de 25% de l’allocation de rentrée scolaire. La réflexion sur les rythmes scolaires est une part importante de ce projet de loi dont les conditions de mise en œuvre sont précisées par un décret relatif à l’aménagement du temps scolaire qui modifie le code de l’éducation. Les écoliers français ont le plus faible nombre de jours d’école des 34 pays de l’OCDE, 144 jours contre 187 en moyenne, et avec 6 heures quotidiennes d’enseignements ils ont la journée de classe la plus chargée. Dans un rapport daté de 2010 l’Académie de médecine mettait en exergue que la semaine de 4 jours était source de grande fatigue, avait des conséquences sur les apprentissages et à fortiori sur les résultats scolaires. Cette réforme a fait l’objet d’un décret modifiant le code de l’éducation et qui vise à mettre en place une semaine scolaire plus équilibrée de 9 demi-journées et d’alléger la journée d’enseignement.  Dans un courrier du 11 janvier 2013, Le Directeur académique des services départementaux de l’Education nationale (DASEN) s’adresse aux maires afin de les informer de l’application de ce décret dés 2013 et précise qu’il est possible de demander une dérogation pour une mise en place en 2014.  La concertation avec l’ensemble des partenaires dont les parents, les équipes enseignantes, le personnel et les organisations syndicales, essentielle à la réussite de ce projet s’inscrit dans la volonté de dialogue constructif que Nanterre développe avec ses administrés.  C’est la raison pour laquelle il est demandé au conseil municipal d’autoriser Monsieur le Maire à demander une dérogation au DASEN pour une mise en place en 2014 de la réforme des rythmes scolaires. Zacharia BEN AMAR Maire Adjoint de Nanterre

Municipales 2014 : le Maire de Nanterre annonce qu’il est candidat à sa propre succession

5 janvier 2013 | Au Parti Socialiste

[caption id="attachment_606" align="alignleft" width="284"] Patrick Jarry et Zacharia Ben Amar[/caption] Municipales 2014 : le Maire de Nanterre annonce qu’il est candidat à sa propre succession dans le dernier numéro de Nanterre Info (janvier). Il en appelle au rassemblement de la gauche. Le rassemblement de la gauche est aussi utile au niveau national particulierement quand la droite attaque aussi  vigoureusement le gouvernement. L’attitude du PC notamment au Sénat ou il vote régulièrement avec la droite rend malheureusement l’union dans nos villes très aléatoire. Quand on vote avec la droite on n’aide pas à la réussite de la gauche. Aussi il serait certainement plus utile pour Nanterre au regard des grands projets de notre ville de s’appuyer sur le gouvernement plutôt que l’hostilité systématique. Le rassemblement  ne peut pas être à géométrie variable. Un minimum de cohérence est nécessaire.

EN CHARGE DE L EDUCATION POUR LE PS DANS LE DEPARTEMENT

18 décembre 2012 | Au Parti Socialiste, Education

Philippe Sarre 1er Fédéral du parti socialiste du 92 vient de me confier la responsabilité de l’Education dans notre département. Il s’agit d’une grande responsabilité mais en même temps enthousiasmante au moment où le gouvernement a fait de l’éducation sa priorité.  Evolution des rythmes scolaires loi  programme sur la refondation de l’école……, autant de sujet que nous nous devons porter haut et fort auprès de la communauté éducative ( représentants syndicaux, fédérations de parents d’élèves, association d'éducation populaire)

Les élus Socialistes de Nanterre s’expriment sur la situation de l’hôpital Max Fourestier

14 décembre 2012 | Au Parti Socialiste, Divers

Communiqué de presse des élus socialistes de Nanterre    Pour le développement d’une offre hospitalière publique cohérente et organisée en faveur des Nanterriens.  Le dimanche 16 décembre 2012 aura lieu à Nanterre une nouvelle manifestation de défense de l’Hôpital Max Fourestier.  Nous, socialistes de Nanterre, tenons à affirmer publiquement nos convictions, fondées sur l’analyse objective des besoins des populations des villes de Nanterre et de Colombes, de la réalité de l’offre locale de soins et des évidences économiques.  Ce que les Nanterriens doivent savoir: les deux établissements sont très lourdement déficitaires : Max Fourestier est le plus déficitaire de toute l’Île-de-France: plus d’un million d’euros chaque mois, l’activité y est insuffisante parce qu’insuffisamment attractive : seulement un Nanterrien sur quatre se fait hospitaliser à Max Fourestier, les équipes sont inquiètes de leur avenir et fatiguées par la surcharge de travail due aux réductions d’effectifs, la population de nos deux villes est majoritairement modeste, voire en partie précaire, que les indicateurs de santé sont médiocres et que l’offre libérale est largement inférieure à la moyenne régionale, Les besoins en soins sont donc importants et mal couverts, malgré un engagement exceptionnel de la ville de Nanterre, mais aussi de celle de Colombes, dans des politiques de santé publique reconnues par tous, y compris l’Agence Régionale de Santé (ARS). Devant ce contexte préoccupant nous exigeons le développement d’une offre hospitalière publique complète, cohérente, organisée et lisible, accessible.  Nous demandons avec force la construction d’une nouvelle entité hospitalière – Groupement de Coopération Sanitaire, Communauté Hospitalière de Territoire, voire fusion des deux établissements – se déployant harmonieusement sur les deux sites, associant l’ensemble des équipes travaillant actuellement sur chaque site mais avec une activité différente sur chacun d’eux.  Il s’agit de donner accès, à tous les Nanterriens et les Colombiens, à la totalité des services et moyens de l’ensemble, avec les mêmes équipes de professionnels, les mêmes exigences techniques et humaines, même si telle activité est faite à Nanterre  et telle autre à Colombes.  Nous sommes convaincus que c’est ainsi que l’on répondra aux réels besoins des habitants des deux villes, et que, soutenu par les élus et porté par des équipes remobilisées, ce projet de Centre hospitalier public unique sur deux sites obtiendra le soutien indispensable de l’ARS.  Les élus socialistes de Nanterre demandent à la ville : De mettre tout en œuvre  pour construire    le projet de rapprochement entre les Hôpitaux Louis MOURIER de Colombes et Max FOURESTIER de Nanterre afin de mettre en commun les compétences et les moyens des deux établissements articulés avec l’offre sanitaire libérale et les centres communaux de santé au service de la population des deux villes.

Le gouvernement à l’écoute des collectivités territoriales .

22 novembre 2012 | Au Parti Socialiste, Education

Hier je me suis rendu au salon des maires et des collectivités territoriales. [caption id="attachment_591" align="alignright" width="300"] Ici avec P.SARRE maire de Colombes (92)[/caption]   Après avoir participé au déjeuner des élus socialistes en présence du Premier Ministre de Jean-Pierre BEL président du Sénat , Claude Bartolone président de l’assemblée nationale, Harlem désir premier secrétaire du PS, j’ai pris part à une table ronde sur les problématiques éducatives locales. Le thème central de cette rencontre, réunissant de nombreux intervenants, notamment Patrick Bloche Président de la commission des affaires culturelles et de l'éducation,  Colombe Brossel Adjointe au Maire de Paris chargée de la vie scolaire et de la réussite Educative, Mathieu Hanottin Député et vice-président du conseil général du 93 en charge de l’éducation, était le rôle prépondérant joué par les collectivités territoriales pour refonder l’école. Cette après midi basée sur les échanges de pratiques a été conclue par une intervention de Vincent Peillon ministre de l’éducation nationale. En substance l’intervention du ministre a tourné sur la modification des rythmes scolaires en échos avec les annonces faites par le Président de la république. Lors de l’échange qui a suivi avec la salle, je suis intervenu pour apporter mon soutien à ce projet qui est indéniablement un des gages de réussite pour nos élèves mais également pour insister sur les incidences qu’un tel projet peut avoir sur le fonctionnement d’une ville. J’ai aussi demandé que les inspecteurs d’éducation nationales soient impliqués dans la concertation que nous aurons, nous élus locaux, à mener au sein de la communauté éducative.  Pour répondre aux questions qui lui ont été posées, le ministre s’est engagé à communiquer dans un délai de 10 jours des précisions quant au cadre de travail qui sera proposé aux collectivités locales.  Bien que sensibilisé sur les délais très courts pour mettre en place de manière efficace ces dispositions, il a insisté sur le fait que pour lui 2014 ne devait pas être la règle mais plutôt une mesure dérogatoire.  Enfin, il a indiqué qu’au-delà d’un soutien financier de 250 millions d’euros, le ministère de l’éducation nationale mettra en place un accompagnement pour la mise en place de ces dispositions.