Le gouvernement à l’écoute des collectivités territoriales .

22 novembre 2012 | Au Parti Socialiste, Education

Hier je me suis rendu au salon des maires et des collectivités territoriales.

Ici avec P.SARRE maire de Colombes (92)

 

Après avoir participé au déjeuner des élus socialistes en présence du Premier Ministre de Jean-Pierre BEL président du Sénat , Claude Bartolone président de l’assemblée nationale, Harlem désir premier secrétaire du PS, j’ai pris part à une table ronde sur les problématiques éducatives locales.

Le thème central de cette rencontre, réunissant de nombreux intervenants, notamment Patrick Bloche Président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation,  Colombe Brossel Adjointe au Maire de Paris chargée de la vie scolaire et de la réussite Educative, Mathieu Hanottin Député et vice-président du conseil général du 93 en charge de l’éducation, était le rôle prépondérant joué par les collectivités territoriales pour refonder l’école.

Cette après midi basée sur les échanges de pratiques a été conclue par une intervention de Vincent Peillon ministre de l’éducation nationale.

En substance l’intervention du ministre a tourné sur la modification des rythmes scolaires en échos avec les annonces faites par le Président de la république.

Lors de l’échange qui a suivi avec la salle, je suis intervenu pour apporter mon soutien à ce projet qui est indéniablement un des gages de réussite pour nos élèves mais également pour insister sur les incidences qu’un tel projet peut avoir sur le fonctionnement d’une ville. J’ai aussi demandé que les inspecteurs d’éducation nationales soient impliqués dans la concertation que nous aurons, nous élus locaux, à mener au sein de la communauté éducative.

 Pour répondre aux questions qui lui ont été posées, le ministre s’est engagé à communiquer dans un délai de 10 jours des précisions quant au cadre de travail qui sera proposé aux collectivités locales.

 Bien que sensibilisé sur les délais très courts pour mettre en place de manière efficace ces dispositions, il a insisté sur le fait que pour lui 2014 ne devait pas être la règle mais plutôt une mesure dérogatoire.

 Enfin, il a indiqué qu’au-delà d’un soutien financier de 250 millions d’euros, le ministère de l’éducation nationale mettra en place un accompagnement pour la mise en place de ces dispositions.

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